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Aperiri vivendum has in. Eu fabellas deseruisse mea, hinc solum tractatos vim ad, ut quem voluptua nam. Ei graeci oblique perci.

Ose Ta Santé

Coup de Gueule #3 Le pouvoir des promesses

Les mal êtres de tous genres se répandent en ce moment comme traînée de poudre.Vous savez que tout cloche, que vous n’êtes plus en capacité de vous épanouir. Les signes physiques se cumulent. Et les questionnements vous bousculent, la confusion vous irrite parce que vous ne savez plus comment penser, ni comment agir.

On vit une époque de confusion, de troubles, de perte de repères.

Vous ne savez pas ce que vous recherchez, mais vous savez ce que vous ne voulez plus…et ça vous déstabilise dans tous les domaines.

Quand vous n’allez pas bien, c’est que vous ne savez plus qui vous êtes.

Alors, vous cherchez des référents extérieurs viables idéalisés à quoi vous voulez ressembler. Et le monde vous sert des modèles inatteignables à profusion: dès que c’est inconfortable dans votre vie, vous vous laissez emporter par des compulsion extérieures.

Vous vous accrochez à tout ce qui peut vous valoriser : les apparences, les identifications à des rôles. Et finissez par vous enfermer dans des représentations de vous même qui sont réductrices et parfois mortifères.

Dieu va m’aider, c’est l’effet waouh

Vous pouvez vouloir comprendre pourquoi vous vivez tout cela, mais c’est souvent trop difficile, vous n’avez pas les outils, et alors, vous vous perchez. Vous allez vous perdre dans les mystères de Dieu, vous remettez dans les mains de D. votre quête d’un sort plus clément. Vous fouillez les lois universelles des miracles.

C’est ainsi que vous sortez inconsciemment de votre condition d’incarné(e). Dans l’espoir de rencontrer une compréhension des mystères de l’univers. Et vous fuyez dans une spiritualité qui peut vous éloigner de votre véritable mission de vie.

Cet effet « WAOUH » tellement à la mode, n’est qu’un pansement énergétique et émotionnel, basé sur une économie d’abondance, et ça ne coûte rien. L’effet « WAOUH » pousse à mettre des masques sociaux.

Vous pouvez alors tomber dans le piège de méthodes de soi disant développement personnel qui proposent des visualisations, de la motivation, des promesses. Des protocoles qui jouent avec vos espoirs et votre vulnérabilité et qui finalement vous écartent de ce que vous êtes fondamentalement. Qui œuvrent sur vos personnages, sur les manques, vous guident à voir ce que vous n’êtes pas, et vous apportent un pseudo plaisir de la vastitude inaccessible.

Parfois aussi, la morale traditionnelle, ou la psychologie à 2 balles, prêchent le pardon, alors que vous avez encore mal. Mais le pardon n’a jamais guéri personne. Parce qu’il ne nous empêche pas de continuer à communiquer en toute quiétude avec l’enfant méprisé et humilié en nous.

Vous donnez ainsi le pouvoir aux diktats et aux dogmes …d’être tout puissants.

Et votre corps réagit bien souvent par la maladie devant le mépris prolongé de ses fonctions vitales.

Ce que nous ne voulons( pouvons) pas voir

Vous reconnecter à des plans supérieurs alors que vous êtes en souffrance est une erreur. Devient un exutoire, qui vous éloigne de la possibilité de révéler ce que vous recherchez. C’est à dire la totalité de ce que vous êtes, la réalisation de la conscience. Devenir mature à la vie.

Il n’y a nulle part ou aller, ailleurs que là où vous êtes qui vous êtes.

Vous devez affronter la croûte émotionnelle de ces conditionnements, des habitudes cristallisées des mémoires qui vous traumatisent.

Vous ne vous réalisez qu’en affrontant ce qui est en vous de plus dur : vos peurs, vos colères vives, vos ombres: tout ce que vous réfutez en essayant de devenir des êtres spirituels.

C’est là que ça demande du courage. Là où il faut de l’aide, pour aller au delà de la peur. Et se rendre compte que ces peurs sont salutaires, et que quand vous en sortez, vous vous retrouvez dans la présence à soi, une réunification de soi.

Si vous n’êtes pas reconnu(e) dès votre naissance,vous n’existez pas et votre vie sera empoisonnée par ce manque. Vous allez manquer de confiance, quoi qu’il arrive.

Vous cherchez partout à faire confiance à tout le monde pour nourrir votre besoin. Et vous tombez dans les panneaux de la vie qui sont partout: les injonctions de comment vous devez être, de ce que vous devez posséder etc…et s’installe le doute, l’auto dépréciation, parce que ça ne fonctionne pas.

La voie est alors ouverte pour les maladies: soit vous êtes plus préoccupé(e) par le pouvoir et les rapports de force, soit vous choisissez la voie de votre humanité, qui se cache sous les blessures et les conditionnements.

C’est une alchimie que personne ne vous apprend.

A cause de nos blessures…

Les bébés, les enfants que vous avez été, sont :

    • confiants et autonomes

    • audacieux et résilients

    • sensibles et à l’écoute

    • déterminés, très proches des émotions

    • ils savent se relever vite et dire non.

Ces petits êtres sont devenus des adultes qui :

    • ne s’autorisent pas à vivre leur vie

    • se demandent ce qu’ils font sur cette planète

    • font tout pour être irréprochables

    • s’ accrochent aux autres de peur qu’ils les quittent

    • sont prêts à tout pour recevoir de l’amour

    • sont toujours en attente de l’autre, d’un signe, d’un sourire, d’un ailleurs

    • doutent facilement de la parole des autres

    • se comparent souvent défavorablement aux autres

    • sont souvent en colère et agressifs, déçus et insatisfaits

    • se sentent coupables s’ils ne sont pas à la hauteur de leurs attentes…

Des adultes qui sont menés par le bout du nez par les peurs de :

    • perdre quelque chose

    • louper les objectifs fixés

    • ne pas plaire à ceux dont ils s’entourent

    • perdre une compétition

    • ne pas obtenir ce qu’ils désirent

    • du regard de l’autre, d’être jugé(e)s, etc….

mais c’est toujours se regarder le nombril et croire que ce que vous convoitez est la seule chose qui peut vous satisfaire.

Vous subissez en continu les conséquences d’une rupture de la dignité de soi. Et cette rupture vous éloigne de la possibilité de développer votre leadership. Vous séparez le corps du mental, pour survivre dans l’adversité. Et vous vous éloignez le plus possible de l’expérience de vos émotions salvatrices.

Et du coup, vous avez peur de découvrir qui vous êtes..

Alice MILLER était précurseur dans ce domaine. Elle écrit que:

« quand un être humain essaie de ressentir ce qu’il doit ressentir, et s’interdit d’éprouver ce qu’il ressent réellement, il tombe malade. A moins qu’il ne fasse payer la facture à ses enfants, en projetant sur eux ses émotions refoulées. »

Nous pouvons choisir de continuer comme avant ou pas.

Vous pouvez choisir de rester dans l’ombre, en acceptant l’opacité de ce que les parents et la société vous ont infligé. Soit, choisir d’émettre la lumière en mettant de l’amour sur votre histoire.

Ensuite, vous pouvez investiguer ce qui vous arrive parce que tout ce qui vous arrive à un sens, est un message. Et souvent, votre corps vous aide à prendre conscience de ce que votre tête ne comprend pas, de ce que vous avez refoulé, dénié. Si vous ne voyez pas, n’entendez pas, alors vous ouvrez sans le vouloir, le champ des mécanismes de mise en place des maladies. Les maladies indiquent là où vous avez manqué, et ce sont tout d’abord des signes précurseurs. Ils existent toujours.

Et sont issus des blessures pas vues.

De la même manière, vous pouvez choisir de faire du préventif: dès lors que vous ressentez des émotions, du mal être, en laissant les explications, les souvenirs, les perceptions vous mener aux racines des manques et des schémas toxiques. La connaissance des schémas toxiques permet de ne plus en être esclave.

Explorer l’inconnu plutôt que de confirmer le connu, permet de sortir de l’enfermement des personnages que vous croyez être vous. Si vous enlevez tout ce que vous croyez être, il reste ce que vous êtes réellement.

Nous pouvons toujours désobéir

« Sous chaque maladie se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons … ou l’ordre de faire quelque chose que nous ne désirons pas. Toute guérison exige la désobéissance à cet interdit ou à cet ordre » (Jodorowski)

Vous pouvez toujours désobéir, pour ne plus être dans la peur de ne pas être aimé, et ne plus fuir la vérité. Sortir de vos idées fausses. Et choisir l’autonomie et la liberté.C’est la condition à la joie d’être.

Vous pouvez décider: soit de continuer à stagner dans les personnalités et la répétition de ce que vous connaissez, dans le bas astral, même si c’est une souffrance quasi permanente, soit choisir d’évoluer vers la conscience d’un astral plus élevé. Et servir votre Soi.

Devenir pleinement soi même

Osez retrouver qui vous êtes. Redevenez acteur créateur de votre histoire.Oser explorer votre propre regard sur vous même vous sauve la vie.

« je suis responsable de ce que je fais de ce qu’on a fait de moi » ( JP Sartre)

Vous êtes souvent dirigé(e) par ces voix intérieures qui vous mènent par le bout du nez, qui semblent vous esclavagiser. Qui rendent vos expériences incontrôlables. A vous de vous faire aider pour déceler cet humain vrai qui se cache derrière les personnages que vous jouez pour survivre.C’est votre mission d’incarnation.

Comprendre votre psyché. Découvrir votre dialogue intérieur. Débusquer les personnages intériorisés qui reproduisent des schémas toxiques connus depuis l’enfance. Mettre la lumière sur vos manques, vos fameuses blessures, vos ombres, fait partie du processus d’ÉVEIL SANTÉ, c’est à dire là où vous pouvez réduire, voire faire disparaître les nécessités de votre corps de hurler.

Vous n’avez pas besoin d’enjoliver, vous êtes complet(e), pas besoin de rajouter quoi que ce soit à qui vous êtes.

Apprendre à s’aimer est incontournable, avoir confiance en ce que vous faites, accepter vos failles. Voir votre potentiel véritable est la clef pour bien vivre votre vie.

La thérapie

« La maturité ne vient que lorsque vous êtes prêt(e) à affronter la douleur de votre être; la maturité ne vient que lorsque vous êtes prêt(e) à relever le défi. Et il n’y a pas de plus grand défi que l’amour. »~ Osho ~

C’est l’objectif de toute logothérapie (thérapie du sens). C’est là où peut vous mener une thérapie qui utilise les bons outils: vous accompagner à retrouver en vous le thérapeute qui sait comment vous sortir de votre enfer, parce que c’est vous qui avez vécu ce qui vous a mis dedans.

« Il faut commencer par établir la sensation en soi même, construire la base, et ensuite je vais ajouter à ma sensation un sentiment permanent d’amour dans tout ce que je regarde et tout ce que je touche » ( L. ANSA)

La thérapie est un acte d’amour. Un acte d’amour de soi. Un engagement vers soi. La thérapie permet de comprendre les conditionnements et les toxiques qui font que vous n’êtes plus libre d’être soi.

Vous avez tou(te)s soif de ( besoin de) reconnaissance, de validation, d’apprendre à grandir, de prendre soin de vos parties blessées, de vos affects, de savoir faire vos choix, de découvrir vos ressources, vos compétences, vos valeurs. De mettre la lumière sur vos parts d’ombre, et de vous connaître au point de savoir vous envoler. C’est ça, le chemin de la thérapie: trouver le sens de votre vie.

Apprendre à devenir libre d’accepter et d’aimer vos sentiments, quels qu’ils soient.

C’est ce que je vous propose en mettant à votre service tous mes outils acquis de longue date et qui ont fait leurs preuves.

N’oubliez jamais que le pouvoir de changer est entre vos mains !

Michelle Andrew

Michelle Andrew

Thérapeute – Formatrice – Scanneuse

osetasante@gmail.com Tél : 06 09 105 201

si tu as besoin de parler avec moi directement, prends rendez vous:

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